Datant du 16ème siècle, le calvaire se compose d'une croix posée sur deux socles superposés et ornée de l'écusson des Rohan et de la couronne comtale posée sur la face nord.
Datant du 16ème siècle, le calvaire se compose d'une croix posée sur deux socles superposés et ornée de l'écusson des Rohan et de la couronne comtale posée sur la face nord.
Les caractéristiques flamandes ou allemandes de la Vierge s'expliquent par les échanges maritimes avec les pays du Nord et par l'intérêt des Rohan pour la production artistique.
L'église est particulièrement riche en sculptures : Saint-Gildas et Saint-Étienne, du XVIIIe siècle, Saint-Mathurin, du XVIe siècle, Saint-Vincent et Saint-Joseph.
L'église remplace un ancien édifice de style flamboyant.
Les vitraux, qui datent de 1928, renseignent sur les dévotions prisées au début du siècle : Notre-Dame de Lourdes et Notre-Dame de Thymadeuc.
Selon la tradition, Saint Gildas, patron de la paroisse, a séjourné fréquemment dans le lieu.
Ces maisons datent du 19ème siècle.
Le trafic des péniches nécessite, jusqu'aux années 1950, la présence permanente de l'éclusier. Sept maisons éclusières sont conservées dans la commune. Chaque passage provoque un échange verbal coloré entre l'éclusier et les bateliers et constitue un événement dans la vie de la commune. La péniche, pendant longtemps, est tirée par un ou deux chevaux postiers choisis pour leur dextérité afin que le passage s'effectue sans dommages. Dans quelques maisons éclusières, un appentis sert d'écurie.
La fontaine se compose de trois sources. Saint Gildas est invoqué pour la guérison des affections nerveuses, de l'épilepsie, et pour retrouver le courage.
Au début du 20ème siècle, pour s'assurer de l'intercession du saint dans quelque entreprise, on lui offre vingt-cinq à cinquante centimes.